mercredi 24 mars 2010
Vous avez peur des insectes?
ILLUSTRATION ACRYLIQUE SUR PAPIER
Voilà mes préférés, les insectes, qui sont pour moi de petits bijoux!
Bijoux sur pattes dont la Nature se pare.
Sans eux, nous ne serions certainement pas sur cette terre,
ils existaient bien avant nous et je pense qu'ils nous survivront.
Nous n'en avons répertoriés environ qu'1 million et ils en restent
parait-il encore 3 fois plus à découvrir!!!
mardi 23 mars 2010
lundi 22 mars 2010
CADEAU ...
AÉROGRAPHE SUR CARTON
... Pour une Mamy folle de Grands Prix et,
je l'ai appris récemment,
de vitesse!!!
... Pour une Mamy folle de Grands Prix et,
je l'ai appris récemment,
de vitesse!!!
ILLUSTRATION
PEINTURE ACRYLIQUE SUR CARTON.
La nature inspire mes créations surréalistes et oniriques.
Insectes, plantes, arbres et racines se mêlent aux roches et aux corps, souvent féminins.
Un autre genre a occupé une partie de ma vie,
L'Illustration documentaire!
J'ai illustré dans tous les domaines,
attendez la suite....
La nature inspire mes créations surréalistes et oniriques.
Insectes, plantes, arbres et racines se mêlent aux roches et aux corps, souvent féminins.
Un autre genre a occupé une partie de ma vie,
L'Illustration documentaire!
J'ai illustré dans tous les domaines,
attendez la suite....
jeudi 18 mars 2010
LE RETOUR DU PRINTEMPS
Comme tous les ans , il nous revient avec sa douceur,
ses promesses de beaux jours
ses jolies femmes légèrement vêtues,
et les cris des enfants heureux.
mardi 16 mars 2010
La fanfare du Printemps
Il nous vient le gai printemps :
Oui c'est lui, le voici, le gai printemps
Qui vient le visage ensoleillé.
Sur ses pas, les enfants émerveillés,
Chantent, joyeux, le retour du mois de mai charmant.
Son cortège, avec solennité,
Passe auprès des bois de sapins verts.
Et, bientôt, partout dans l'univers,
On n'entend plus que les cris,
Des chants, de la gaité.
Quels ravissants ramages
Surgissent des buissons ;
Oiseaux des verts bocages,
C'est vos chansons.
Joseph BOVET (1879-1951)
Il nous vient le gai printemps :
Oui c'est lui, le voici, le gai printemps
Qui vient le visage ensoleillé.
Sur ses pas, les enfants émerveillés,
Chantent, joyeux, le retour du mois de mai charmant.
Son cortège, avec solennité,
Passe auprès des bois de sapins verts.
Et, bientôt, partout dans l'univers,
On n'entend plus que les cris,
Des chants, de la gaité.
Quels ravissants ramages
Surgissent des buissons ;
Oiseaux des verts bocages,
C'est vos chansons.
Joseph BOVET (1879-1951)
mardi 9 mars 2010
LIBELLULE
J'ai toujours eu une grande passion pour les insectes,
je les ai maintes fois dessinés
avec toute la précision requise pour des illustrations documentaires,
et avec beaucoup de liberté dans mes dessins surréalistes!
Et j'ai une grande admiration pour la libellule! Si éphémère qu'elle n'en a que plus d'attrait!
je les ai maintes fois dessinés
avec toute la précision requise pour des illustrations documentaires,
et avec beaucoup de liberté dans mes dessins surréalistes!
Et j'ai une grande admiration pour la libellule! Si éphémère qu'elle n'en a que plus d'attrait!
samedi 6 mars 2010
A MARITÉ
Gourmandise
J'étais allé chez l'épicier
Acheter
Du café, du savon, de l'huile
Ou bien des allumettes.
En passant devant le comptoir
J'ai pu voir
Des caramels et des sucettes,
Peut-être cent, peut-être mille !
Mais alors, je n'ai plus pensé
A ce qu'il fallait acheter
Et j'ai demandé tout bas
Un kilo de chocolat.
A. Laponne
jeudi 4 mars 2010
La lune s’attristait. Des séraphins en pleurs Rêvant, l’archet aux doigts, dans le calme des fleurs Vaporeuses, tiraient de mourantes violes De blancs sanglots glissant sur l’azur des corolles. C’était le jour béni de ton premier baiser. Ma songerie aimant à me martyriser S’enivrait savamment du parfum de tristesse Que même sans regret et sans déboire laisse La cueillaison d’un Rêve au cœur qui l’a cueilli. J’errais donc, l’œil rivé sur le pavé vieilli Quand avec du soleil aux cheveux, dans la rue Et dans le soir, tu m’es en riant apparue Et j’ai cru voir la fée au chapeau de clarté Qui jadis sur mes beaux sommeils d’enfant gâté Passait, laissant toujours de ses mains mal fermées Neiger de blancs bouquets d’étoiles parfumées. Stéphane MALLARMÉ
Inscription à :
Articles (Atom)